Transports

  • Cars rapides
Abondamment décorés et couverts d'inscriptions religieuses comme "Alhamdoulilah", ils font partie intégrante du paysage sénégalais. Lorsqu'ils sont de couleur jaune-orange-bleue, ce sont souvent des camionnettes Renault des années 1980, aménagées pour une vingtaine de passagers. Leur conduite est  parfois aléatoire en raison de la densité du trafic et de leur mauvais état. On les appelle aussi « 22-places ». Ils sont utilisés pour des trajets urbains ou interurbains. Mais il en existe d'autres, parfois des Mercedes de couleur blanche, généralement plus confortables. Les cars « Ndiaga Ndiaye assurent des lignes régulières, plutôt sur de longues distances mais aussi les trajets urbains.
  • Bus
À Dakar il existe aussi un réseau de bus municipaux DAKAR DEM DIKK. Vers 2007 sont venus sur le réseau routier inter urbain des mini bus (marque TATA) de couleur blanche avec des rayures bleues qui sont assemblés dans le pays et qui relient la banlieue du centre ville ; en guise de remplacement des Mercedes précitées mais ce remplacement est en cours et est loin d’être totalement réussi même si ces dits minibus contribuent nettement à diminuer le problème de transport(caractérisé par un sectionnement) dans la capitale sénégalaise.
  • Taxis
Les villes accueillant des taxis sont Dakar et ses environs , (Ngor, Pikine, Rufisque, Ouakam), Ziguinchor, Kaolack, Saint-Louis, Touba, Tambacounda, Thiès et Fatick. Occasionnellement vous pourrez en trouver ailleurs.
Dans certaines zones il n'y a pas de taxi mais des clandos ou les charrettes pour combler le vide. Le marchandage est  devenu la règle pour chaque trajet et il faut négocier chaque course. Les habitués effectuant quotidiennement le même trajet finiront par obtenir un prix moyen qui leur servira de base de négociation avec le taximan. Il est aussi bon de noter que le "covoiturage" en taxi est en constante augmentation. Pour vous donner une idée, un trajet du centre-ville de Dakar (place de l'Indépendance) jusqu'à Ngor, Yoff ou Ouakam oscille selon votre talent de marchandeur entre 1500CFA et 3000CFA (entre 2,25 et 4,5€). En centre ville, une course ne peut pas dépasser 1000CFA (1,5€). Les voyageurs qui n'ont pas beaucoup de bagages et pas beaucoup de moyens auront des tarifs deux à trois fois moins chers en faisant 100 mètres pour sortir de l'aérogare. Le tarif officiel "aéroport" oscille entre 3000 et 5000CFA (jusqu'à 7,5€) en fonction de l'heure (où que vous alliez à Dakar et sa banlieue). Dans de nombreux quartiers de Dakar (notamment les quartiers résidentiels et périphériques), ils peuvent être rares de jour comme de nuit de trouver un taxi. Il faudra parfois marcher sur une longue distance afin d’en trouver sur un axe plus fréquenté. 
Les taxis-radio vous évitent ce désagrément. Vous pouvez donc sur simple appel téléphonique faire venir en 5-10 minutes un taxi à votre domicile, devant votre hôtel ou à la plage etc. Le prix est égal à celui des taxis normaux.
Allo Taxi : 338 23 44 04 
Dakar Taxi : 338 23 48 38
  • RAIL
La gare de Dakar et celle de Saint-Louis datent de la même période. Dans l'intervalle, le transport de voyageurs entre Dakar et Saint-Louis a été abandonné. Outre l'axe principal reliant la capitale au Mali, il subsiste le dénommé Petit train de banlieue.
  • TRANSPORT MARITIME
Le port le plus important est celui de Dakar. Les ports secondaires sont ceux de Saint-Louis, Kaolack et Ziguinchor. Depuis mars 2008 un nouveau bateau assure la liaison Dakar-Ziguinchor: le Aline Sitoé Diatta.
  • TRANSPORTS FLUVIAUX
Il s'agit principalement du fleuve Sénégal, du Saloum et du fleuve Casamance. L'écluse de navigation du barrage de Diama – mis en service en 1988 à la frontière mauritanienne – doit permettre le passage des bateaux, mais n'est guère utilisée
  • TRANSPORT AERIEN
L'aéroport international de Dakar-Léopold Sédar Senghor est un aéroport de classe internationale. La construction d'un nouvel aéroport moderne à NDIASS, à une quarantaine de kilomètres de Dakar, est en cours, l'aéroport international Blaise Diagne. L'aéroport de Saint-Louis, l'aéroport de Cap Skirring et l'aéroport de Ziguinchor sont des aéroports contrôlés ou de première catégorie. L'aérodrome de Tambacounda n'est pas contrôlé, mais il est pourvu d’un service de protection de la navigation aérienne.
Enfin d'autres aérodromes civils font l'objet d'inspections périodiques : aérodrome de Bakel - aérodrome de Kaolack - aérodrome de Kédougou - aérodrome de Kolda - aérodrome de Matam - aérodrome de Podor - aérodrome de Richard-Toll - aérodrome de Simenti. Celui de Linguère est actuellement fermé. Le Sénégal possède quelques aérodromes militaires, tels que la base aérienne 160 de Dakar-Ouakam.